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1944 | Le numéro 1 : Bastogne, à la veille du choc
1944 est consacré au sacrifice des hommes qui ont sauvé la ville. Ils se sont fait hacher sur place, dans leurs trous de fusiliers, sur les chemins qui mènent à Bastogne. Sans eux, cet endroit stratégique serait tombé aux mains des Panzer avant que la 101st Airborne Division n'ait eu le temps de se déployer. C'est ce fait central, trop souvent éclipsé par le siège, que nous allons mettre en exergue au fil des pages.
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Sur les traces du 501st PIR du Mardasson à Bizory
Nous vous invitons à découvrir les lieux des combats grâce à ce parcours rando de 9 kilomètres. Pour vous accompagner durant cette balade, nous avons mis au point un système d'accompagnement par QR codes qui vous permettra d'obtenir de plus amples informations.
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L'agenda |
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|  | Grand colloque qui s'inscrit dans la lignée des « Rendezvous du Bastogne War Museum » intitulé D'une Guerre Froide à l'Autre ? |
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|  | Dead Man Ridge Walk : marche commémorative sur les traces des parachutistes de la 17th Airborne Division dans la région de Bastogne. Présence d'un vétéran. |
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|  | Avril à décembre 2019 : exposition photos Then and Now sur la Place McAuliffe et dans la Grand Rue. |
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La Panzer-Lehr-Division fonce sur Bastogne
La Panzer-Lehr-Division a pour mission de capturer Bastogne dès les premiers jours de l'offensive des Ardennes. L'échec qu'elle essuie devant la ville carrefour est pour beaucoup dans les difficultés rencontrées par la 5.Panzer Armee dans sa course à la Meuse. L'autopsie de cette phase de l'opération permet d'illustrer les nombreux facteurs qui ont conduit l'attaque allemande dans une impasse.
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Hitler, le seul à y croire ?
Le plan allemand pour la bataille des Ardennes est une construction théorique qui ne va pas résister à une douloureuse confrontation avec les réalités opérationnelles et tactiques. À part les stratèges en chambre dans les bureaux de la Chancellerie à Berlin qui rêvent éveillés, aucun officier allemand ayant subi l'épreuve de la bataille ne croit à la réussite de l'offensive. Tous le savent, mais peu osent le dire !
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LE PAPIER, C'EST SOLIDE !
Extrait de « Édito », Soir mag, 26 décembre 2018.
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Alors que le marché digital enrichit et diversifie sans cesse ses offres, le papier continue à faire preuve d'une jolie résistance. […] Nous ne sommes heureusement pas les seuls à croire en un réel avenir pour le papier. […] Le second exemple est belge. Son titre : « 1944 ». Il s'agit d'un « mook » (mariage entre le magazine et le livre). Là encore, seule une version papier a été envisagée. Lancée à l'initiative de l'éditeur Olivier Weyrich, cette publication comptera deux numéros par an (le premier, très réussi, « Bastogne à la veille du choc », vient de paraître). Une prophétie à quelques heures d'un changement d'année, période durant laquelle on pense forcément à demain et après : le papier continuera à vivre grâce à ses innombrables amoureux, de tous âges, qu'il ne cessera de séduire. Ne vous fiez ni aux oiseaux de mauvais augure ni aux apparences : le papier, c'est solide ! Marc Pasteger |
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 |  |  | « Plutôt mourir que trahir » de Joseph Neysen
En suivant le regard de l'archange, avec son glaive de pierre, qui garde le monument aux victimes de guerre de la commune de Beho, on lit une soixantaine de noms qui suscitent un long questionnement. Sont-ils morts face à l'ennemi, dans les camps ou les prisons nazis ou tout simplement sont-ils des victimes civiles de cette dernière guerre ? Sans être historien, l'auteur rassemble dans ce livre des faits documentés, des récits authentifiés, des témoignages assermentés avec lesquels il exhume, des histoires individuelles, douloureuses et tragiques, qui maintenant font en quelque sorte partie de notre histoire à tous. L'objectif est de révéler, sobrement et pour la première fois, le courage, l'héroïsme ou tout simplement l'attachement à leur terre natale, dont ont fait preuve tous ces jeunes gens qui, sans une exception, ont refusé de servir le régime hitlérien. Comme leur devise était: « Plutôt mourir que trahir ! » nous la préservons et la transmettons. Disponible sur www.weyrich-edition.be au prix de 26 €. |  |
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