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2014-11-23

Aerobuzz : On a testé l’oiseau bionic !

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ar Martin R.

On a testé l’oiseau bionic !

  | Culture Aéro | Commenter
Un oiseau bionic, mais qu’est ce que c’est ? C’est un aéronef ultra-léger, télécommandé, aux allures d’oiseau bleu. Un petit bijou de technologie made in France.

Présentation et design

Très bel objet, l’Avitron, est un oiseau bleu d’une envergure de 33cm et ne pèse seulement 8,5 grammes. Ses ailes sont en plastique souple. son corps en polystyrène renferme le moteur ainsi que l’ingénieux système de direction miniature. La queue peut être relevée sur plusieurs crans afin d’adapter la vitesse de l’oiseau au niveau du pilote ou à l’environnement.
L’Avitron en charge sur la télécommande
© G. d'Halluin / Aerobuzz.fr
La télécommande, très sommaire, permet cependant d’augmenter ou réduire la vitesse des battements d’ailes de façon très précise (128 pas) et de virer de bord très rapidement. La portée de celle-ci atteint les 100m. Un connecteur retractable, situé au bas de la manette, permet de recharger l’oiseau n’importe où. Le système multifréquences sans quartz permet de faire voler jusqu’à 128 oiseaux simultanément, sans interférences.



Aerobuzz : Aviator une histoire illustrée de l’aviation

Aviators, une histoire illustrée de l’aviation

mercredi 19 novembre

C’est un livre agréable à prendre en main que proposent les éditions YellowKorner. A cause de son format, mais plus encore de la centaine de photos qu’il rassemble et qui sont autant de petits cailloux blancs qui jalonnent la lecture à travers une évocation subjective d’un siècle d’aviation. Ces photos d’une rare qualité sont extraites pour partie du fonds Keystone alimenté au fil des décennies par les plus grands reporters. Pris à des milliers de kilomètres de distance, les clichés se répondent. Lindbergh, Hélène Boucher. Chuck Yeager, Youri Gagarine. Auguste Piccard, Adrienne Bolland. Le planeur à pédale de Bryan Allen, l’avion espion U-2.





Aerobuzz : Les visages de Saint Exupéry

Les visages de Saint Exupéry

jeudi 20 novembre

« Antoine, nous avons voulu […] saisir tes regards. Nous sommes devenus tes visages, apprenant à lire sur chacune de tes rides et sur chaque grain de ta peau. Philippe s’est glissé dans ton ombre et ses traits de crayon ont épousé ceux de tes regards. Je me suis glissé dans tes mots. Et mes phrases ont restitué tes paroles. Il faut relire chacune de tes œuvres pour savoir à quel point tu es resté vivant, à quel point tu nous parles, soixante-dix ans après ton départ, en ce début de troisième millénaire. » Ainsi s’exprime l’auteur des textes, Jean-Pierre Guéno, sur le travail qu’il a publié, avec l’illustrateur Philippe Lorin, aux éditions Le Passeur.